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Catarina E. Di Corleone || Goin' down to hell, with an angelic smile.

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MessageSujet: Catarina E. Di Corleone || Goin' down to hell, with an angelic smile. Catarina E. Di Corleone || Goin' down to hell, with an angelic smile. EmptyMer 20 Jan - 2:27

Di Corleone - C. Ellen.
▬ ft. O.C de Legends of the Cryptids - Pencil 1203.
Âge : 7/06/1987 - 27 ans.
Métier/études : Mannequin
Nationalité/origines : Italienne pure souche.
Situation conjugale : A été fiancée, désormais célibataire.
Situation familiale :  Fille aînée d'une fratrie de 4 autres enfants plus jeunes (Trois garçons & une fille.)
Situation financière : Très largement aisée. Fille d'un membre influent de mafia.

Carnation : Pâle, presque blafarde.
Taille : 1m73.
Corpulence : Silhouette longiligne, élancée, à peine troublée par le début de sa grossesse. Possède une certaine musculature, laquelle est associée à sa souplesse.
Cheveux : Longs (jusque sous son fessier), ondulés et toujours libres. D'un noir de jais.
Yeux : En amandes. Noirs. Virant à l'écarlate à l'utilisation de sa magie.
Signe(s) distinctif(s) : Tatouage de ronces tout autour de son cou qui, très lentement, tourne. - Mains couvertes de sang à l'utilisation de magie nécromancienne - Dans la tour : marche toujours sur une sorte de nuage de poussière rouge, ses cheveux ondulent dans l'air et tombent éternellement en cendres voire parfois se désintègrent pour donner naissance à de minuscules ombres de chauve-souris, se reformant ensuite.


Avez-vous déjà été dans la Tour ? :  Elle y habiterait presque. Elle l'a déjà descendu entièrement plusieurs fois.
Quel alignement avez-vous choisi ? : Tenebrae.
Avez-vous choisi votre classe ? : Impératrice nécromancienne - 10ème palier.
froide
manipulatrice
séductrice
arrogante
dédaigneuse
franche
distinguée
minutieuse
observatrice
réfléchie
très portée famille
paresseuse
Histoire : Catarina Ellen Di Corleone est née en été, l'été de 1987. Ses parents, fortunés, désiraient un enfant plus que tout. Si bien que sa venue au monde fut célébrée pendant presque une semaine. Ils prirent soin de s'assurer que tout serait parfait pour que la croissance de leur princesse se passe dans les meilleurs conditions possibles. Mais ce ne fut pas chose simple. Le père Di Corleone, en effet, n'avait pas le métier le plus rose du monde. Membre influent d'une mafia, perché au poste de bras-droit du parrain, il était souvent exposé à des dangers que redoutaient son épouse. Plus ou moins tout au long de leur existence, les deux femmes durent endurer des enlèvements, des tentatives de meurtres. Mais, inexplicablement, les dangers les menaçant disparurent toujours les uns après les autres, dans de mystérieuses circonstances. Jusqu'à ses sept ans, la petite apprit la vie, à communiquer, à compter, à multiplier, diviser, soustraire. Tout un tas de choses qui ne l'intéressait pas. Elle se passionna, en revanche, pour le piano et le violon, puis pour le chant. Ses parents, adorateurs de toute réussite de leur enfant miraculeux, payèrent des cours en-veux-tu-en-voilà, assistant comme ils purent à la moindre représentation. Mais bientôt, des rumeurs dérangeantes se mirent à circuler parmi les enfants de l'école de Catarina. Et afin de lui éviter d'être mise à l'écart, ses parents engagèrent de nombreux précepteurs. Mais ce ne fut pas une décision judicieuse. Catarina pensa tout d'abord avoir fait honte à ses parents, puis qu'ils souhaitaient qu'elle ne soit plus aussi proches de ses amis, de ses petits camarades. Son caractère, à partir de là, s'affirma. Elle fit de nombreux caprices, des caprices qu'elle n'avait jamais fait jusque là, trépigna des pieds au moindre refus, et se mit régulièrement à s'isoler. Elle disparut du regard de ses parents, qui ne savaient pas comment se comporter avec elle. Et puis ce fut, sembla t-il, le coup de grâce.

Sa mère retomba enceinte, d'un garçon, lequel succéderait certainement à leur père, et en comprenant qu'elle n'était plus aussi importante, Catarina demanda à être envoyée en internat. Sa demande fut entendue, confirmant à cette enfant qu'elle n'avait plus sa place, et elle s'y résigna. C'était certainement mieux comme ça, c'était tout du moins ce qu'elle pensa. Elle rentrait le week-end, pour les vacances, mais ne faisait jamais que s'enfermer dans sa chambre pour jouer du piano ou du violon. Son petit-frère, Antonio, grandit avec cette régularité, cette habitude de l'entendre jouer depuis sa chambre à chaque fois qu'elle rentrait. Elle n'échangeait pas le moindre mot avec lui, ne le regardait pas, incapable de ne pas lui en vouloir d'exister, de lui avoir voler sa place, ce qui la dégoûta elle-même. Cette douleur s'accrochait à sa peau, comme si elle y avait laissée une cicatrice. Sa mère, encore, tomba enceinte. Cette fois-ci d'une petite fille. Mais Catarina resta à sa place, les premiers mois. Puis elle vit, dans les yeux étincelants de sa petite-sœur, une joie qu'elle lui envia sans malice. Elle s'occupa beaucoup d'elle, avec énormément d'amour, avant que des jumeaux ne se joignent à l'aventure. Elle entretint un lien particulier avec sa soeur, Natalia, mais se rapprocha aussi beaucoup des jumeaux, Ilio et Antonio, ouverte à ceux qui, comme elle, passaient après le premier garçon. Entre elle, sa soeur et ses deux jumeaux de petits-frères, il y avait le lien d'être inutiles, de se débattre pour ne finalement plus être vus. Elle leur offrit tout ce qu'elle pu, passa tout son temps libre avec eux et, la majorité arrivée, revint à la maison familiale pour pouvoir leur consacrer plus de moments de tendresse. Ses parents, retrouvant leur petite Catarina angélique, lui offrirent de nombreux présents qu'elle refusa cependant. Elle trouva un travail, devint mannequin, commençant du bas de l'échelle, et tint bon malgré les difficultés. Elle souhaitait pouvoir se poser d'elle-même, vivre sans plus gêner ses parents, ignorant que ceux-ci ne souhaitaient que partager quelques instants avec elle, pour se faire pardonner de l'avoir logée derrière son petit-frère, dans son ombre. Le temps défila, sans s'arrêter, et elle devint bientôt un célèbre mannequin, gagnant même le précieux titre d'égérie d'une marque connue de vêtements de luxe.

Et la Tour vit le jour. Elle s'extirpa du ciel, peut-être de l'océan aussi. Et d'étranges phénomènes se déversèrent sur le monde. Elle la regarda, souvent, à la télévision, suivant les informations la concernant aussi fréquemment que possible. L'appel fut ensuite découvert. Et, protégeant ses frères et sa sœur, elle tenta, sans trop savoir efficacité de cette action, de les tenir loin des fenêtres, qu'ils ne regardent pas trop souvent l'imposante Tour du Néant. Et peut-être cela fonctionna t-il, car le seul appelé par la Tour fut le seul qu'elle n'avait pas protégé : Antonio. Elle s'en sentit responsable pendant des jours entiers, et bien plus encore quand le jeune homme disparut. Désespérée, elle démissionna de son emploi et, la Tour r-ouverte suite à l'apparition de l'Appel, elle s'y jeta pour aller le chercher. Mais il était trop tard. Elle descendit la Tour en entier, priant pour sa sûreté, mais ne le croisa pas une seule fois. Elle demeura des jours entiers dans le hall, à l'attendre, mais personne ne semblait l'avoir vu. Il était descendu, selon la surveillance de la Tour, mais n'était jamais remonté... Elle pleura, de lourdes larmes, s'accusant de sa mort. Et quand elle réalisa enfin qu'il n'y avait plus rien à faire, elle refusa de retourner chez elle annoncer cette horreur à ses parents. Pourtant, Paul aussi vint à la Tour. Elle tenta de le retenir, mais l'enfant se tordait de douleur, hurlait, et lui ordonnait de le laisser passer. Incapable de le laisser souffrir de la sorte, elle décida de l'accompagner, de le faire monter dans la Tour en espérant que cette partie serait moins hostile.

Pourtant, Paul périt sous ses yeux. Ce n'était encore qu'un enfant, mais le Juge le lui avait prit. Elle du se résigner à rentrer, ramenant le corps de son petit-frère, sans savoir où se trouvait l'autre, pour s'abandonner à la tristesse. Ilio, en petit rayon de soleil, dormit avec elle nuit après nuit, pour surveiller que sa soeur ne fit pas de cauchemars, mais ses nuits étaient agitées. Elle revoyait sans cesse l'expression du pauvre garçon, entendait ses cris, et s'effondrait en sanglots aussi discrètement que possible pour ne pas alerter le petit ange qui demeurait à ses côtés. Elle lui promit, avec fermeté, de le protéger de tout, parce que Natalia était partie vivre sa vie, tentant de fuir aussi loin que possible de la Tour. Mais il fallait que quelqu'un découvre la vérité. Elle en connaissait une partie, pour être devenue une Tenebrae, mais n'avait toujours pas vu le bout du tunnel. Il y avait bien plus à apprendre dans cette Tour, en quelques mois, que l'on ne semblait pouvoir en apprendre en toute une vie. Elle confia Ilio à ses parents, après l'avoir couvert de baisers et, emmenant son lourd sac, elle reprit la route pour se rendre à la Tour du Néant. Cette fichue tour lui avait prit deux de ses frères, avait brisé le coeur de ses parents, démolit son existence entière, et elle refusait de simplement l'accepter ainsi. Elle se fichait bien des gens qu'elle allait devoir utiliser, de ceux dont elle allait abuser. Elle verrait cette tour s'effondrer, et elle participerait à sa démolition.

C'était cependant sans compter sur son aventure avec un autre voyageur de la Tour. Quand elle avait été se niché dans les profondeurs de la Tour, se complaisant dans les ténèbres, son principal amant, son coup de coeur en quelque sorte, était pour sa part un Lux. Leur relation, particulière, les amenèrent à coucher plusieurs fois ensemble. Catarina, pour lui, fit une exception à sa règle de l'unique nuit d'amour. Mais pas seulement une ou deux fois. Cinq ans de cette relation singulière finirent par donner naissance à une petite vie, qui se nicha dans le ventre de sa future mère. Hector, après tant d'années de cette passion sans bride, avait mise enceinte l'italienne. Elle garda longtemps la nouvelle, après l'avoir apprise, sous le choc, et songea un temps à avorter de cet enfant. Mais sa mère, bien sûr, devina ce changement chez sa fille, la raisonnant à ne pas punir une vie innocente. En réalisant la pensée qu'elle avait eue, Catarina reprit de pleurer de longues nuits, refusant de dormir aux côtés de son amant afin de cacher de son mieux ses nausées matinales. Mais les jours passant, elle réalisa qu'il allait devenir de plus en plus difficile de cacher cette croissance, son ventre commençant à s'arrondir très légèrement. Hector finirait par le deviner. Mais cet enfant n'était pas qu'un enfant. Il était le petit être issu d'une Tenebrae, jugée par le Juge comme la personnification de sa version du mal, et Hector comme celle de la bonté la plus parfaite. Et l'angoisse, avec le temps, croissait aussi en elle. Serait-il seulement humain..?
Pseudonyme : Cat.
Prénom : Mary.
Âge : 18 balais.
Commentaire : Nope, aucun.
Code du règlement : Code validé.
Catarina E. Corbett-Di C.

Feuille de personnage
Classe & Palier: Impératrice nécromante - 10 ème palier
Étage de la Tour: Complétés.
Inventaire:
Catarina E. Corbett-Di C.
Elysium
Messages : 5
Pièces d'or : 15553
Date d'inscription : 18/11/2015
Localisation : A l'intérieur de la Tour Néant.
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Catarina E. Di Corleone || Goin' down to hell, with an angelic smile.
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